▲ Bienvenue à Poudlard
NOM ▲ Poniatowski. PRÉNOM ▲ Antigone, Juliette. ÂGE & DATE DE NAISSANCE ▲23 juillet 1877. LIEU DE NAISSANCE ▲ Russie, Saint-Pétersbourg. OPTIONS SUIVIES ▲ Soins aux créatures magiques. CLASSE SOCIALE ▲ Aisée. STATUT CIVIL ▲ Fiancée. ORIENTATION SEXUELLE ▲ Hétérosexuelle. MAISON ▲ Gryffondor. SANG ▲ Pur. BAGUETTE ▲ Bois de cèdre, plume de phœnix & 27 centimètres. PATRONUS ▲ Licorne. EPOUVANTARD ▲ Un serpent aux proportions démesurées. AVATAR ▲ Astrid Bergès-Frisbey.

DIRTY LITTLE SECRET ▲


Quelques questions pour mieux te connaître, chère sorcière ...

1. Quel est votre point de vue sur les idées véhiculées par les pro-sangs purs ? Plutôt magie blanche ou magie noir ? ▲ Si vous voulez mon avis, je trouve que cela va trop loin. Il est certain que dans mon cas, la question ne se pose pas - je ne risque absolument rien puisque mes parents sont des sorciers tout comme leurs parents & les générations passées. Mais toutes ces personnes qui ont de la famille moldue ? Il est hors de question de sacrifier des vies sous prétexte que le sang n'est pas pur ... La pureté vient du coeur. Mais ce n'est que mon avis. Je prône la magie blanche même si la magie noire ne me dérange pas, tant qu'elle est utilisée correctement. Autant vous dire que cela est rare.

2. Avez-vous déjà enfreint le règlement ? ▲ Bien entendu ! Qui n'a jamais fait une telle chose ? Je ne dis pas qu'il faut enfreindre le règlement à maintes reprises mais dans la vie, il faut savoir prendre des risques. Je sais que je n'aurais pas dû et que si les professeurs l'apprennent, je serais sévèrement punie. Mais je ne regrette rien, fort heureusement.

3. Plutôt chocogrenouille ou dragées surprises bertie crochues ? ▲ C'est une question plutôt difficile ! L'un de mes plus grands défauts est la gourmandise. J'adore les bonbons mais je pense que par dessus tout, je raffole du chocolat. Je dirais donc les chocogrenouilles. D'ailleurs, si vous voulez bien m'excuser ...

4. Bavboules ou jeu de bataille de cartes explosives ? ▲ En réalité, je ne suis pas trop jeux ... Je préfère largement les promenades ou la lecture. Mais si je devais vraiment choisir, je dirais le jeu de bataille de cartes explosives. Il m'est arrivé d'y jouer à plusieurs reprises.

5. Quel est votre sortilège favori ? ▲ Je pense qu'il s'agit du sortilège Lumos, qui fait apparaître un faisceau de lumière au bout de la baguette magique. Nombreuses sont les fois où je l'ai utilisé pour mes promenades nocturnes ... Mais ne nous étalons pas davantage sur le sujet. D'autres sorts sont bien pratiques également comme Accio ou Alohomora. Beaucoup ont de l'importance mais d'autres devraient être limités.

6. Une particularité ? ▲ Je n'ai pas réellement de particularité, si ce n'est que j'adore les créatures magiques & plus particulièrement les licornes. Je pense que j'ai un don pour communiquer avec les animaux parce que je n'ai peur d'aucun d'entre eux - à l'exception du serpent - et ils ne sont pas effrayés par moi. Intéressant, vous ne trouvez pas ?

▲ Bienvenue derrière ton écran
PSEUDO/PRÉNOM ▲ Fairyt4les/Chloé. ÂGE ▲ 22 ans. SEXE ▲ Fille. PAYS ▲ France. DOUBLE-COMPTE ▲ Non. PRÉSENCE ▲ 4/7. OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ▲ bazzart . COMMENT LE TROUVES-TU ▲ Il est vraiment magnifique, félicitations ! CODE DU RÈGLEMENT ▲ balai.

OH MY DEAR ▲


Il y a de ces histoires que l'on ne peut oublier. Mais il y en a d'autres, malheureusement qui s'effacent à jamais. Sachez que mon histoire personnelle est un peu particulière. Pour tout vous dire, je n'ai pas vraiment de souvenirs de mon enfance. Tout ce qui a existé entre 1877 et 1882 ne me revient pas. Mais laissez-moi vous conter ce dont je me rappelle. En 1882, je n'étais encore qu'une enfant de cinq ans. Bercée par les mythes & les légendes de Russie, je vivais seule avec mon père dans une petite maison à Saint-Pétersbourg. Il était né dans cette ville également et ne l'avait quitté que quelques années - lorsqu'il était entré à l'école Poudlard. C'est dans cette célèbre école de sorcellerie qu'il avait rencontré ma mère, dès sa cinquième année. Ils étaient dans deux maisons différentes : elle à Serdaigle, lui à Gryffondor. Mais ils étaient tombés amoureux rapidement et s'étaient même mariés dès leur septième année terminée. ll est vrai que les mariages d'amour étaient rares à cette époque. Toutefois, mon père et ma mère avaient la chance d'être des Sangs-purs & par la même occasion, des personnes de bonne famille. Leurs parents avaient acceptés l'union et le couple était retourné vivre en Russie, où ils avaient travaillé ensuite. A l'âge de vingt-cinq ans, ma mère était tombée enceinte de moi. Elle avait attendu cet évènement de nombreuses années, tout comme mon père. Ils avaient désiré un enfant dès leur mariage mais les premières années avaient été consacrées à l'enseignement d'un métier et par la suite, ils avaient eu quelques problèmes pour procréer. Il était assez rare chez les sorciers que survienne un tel problème mais apparemment - mes parents avaient peu de chance d'avoir des enfants. Ils avaient essayé sans jamais se décourager et leurs prières avaient finalement été exhaucées. Cependant, il faut dire que mon père était inquiet au sujet de l'accouchement de ma mère. Il avait peur que certaines complications surviennent et même s'ils vivaient dans un univers magique où certaines formules pouvaient résoudre bien des problèmes, il s'agissait quand même d'une vie - ce n'était pas la même chose. L'on ne pouvait contredire les lois de la nature. Pendant neuf mois, mes parents avaient pris les précautions de me faire venir au monde dans les meilleures conditions. Ils avaient tout prévu. Puis, vînt l'heure de l'accouchement. Mes parents avaient décidé que tout se passerait en Russie même si certains médicomages avaient assurés que l'hôpital Sainte-Mangouste à Londres était bien plus réputé que celui de Saint-Pétersbourg. Il est certain que ces derniers auraient peut-être dû écouter les médicomages. Cela aurait éviter bien des drames. L'accouchement ne se passa pas très bien. Après des heures de travail, ma mère finit par perdre la vie, épuisée par les complications et l'on assura à mon père que j'allais avoir quelques séquelles. En l'espace d'un instant, il avait tout perdu. Fort heureusement croyant, mon père se plu à penser que cela ne s'était pas passé pour rien. Il y avait forcément une explication. Il me ramena donc au domicile familial et s'occupa de moi avec tout l'amour qu'un père pouvait donner à son enfant. Il me prénomma Antigone. Pendant les trois premières années, ce dernier pensa que les médicomages s'étaient trompés. Je n'avais pas particulièrement de problèmes, malgré tout ce qu'avaient pu dire le médecins le jour de ma naissance. Mais un jour, il comprit ce qui n'allait pas chez moi. C'est en me demandant très franchement si j'avais de souvenirs de ma mère, que j'avais répondu que je ne savais pas ce qu'était une mère. Devant tant d'incompréhension, il était entré dans une colère noire.

" - Les Dieux sont tombés sur la tête, par la barbe de Merlin ! "

Puis, il avait compris que l'on ne pouvait rien y faire. Alors - il avait décidé de me parler d'elle chaque soir. Il me racontait sa vie, comme l'on raconte une histoire à un enfant pour l'endormir. Mais j'étais tellement fascinée. Je me demandais simplement pourquoi le destin avait décidé de m'ôter cette femme qui paraissait si parfaite. Cette femme qui était ma mère. Lorsque j'atteignis les sept ans, mon père décida que notre temps eu Russie était révolu. Il avait acheté une maison en Ecosse, plus précisemment à Edimbourg où ma mère était née. Ainsi, j'allais rencontrer mes grands-parents que je ne connaissais pas encore. Je dû saluer ma famille paternelle avant de suivre mon père dans une cheminée & de l'entendre prononcer le nom de la ville de destination. Je m'habituai rapidement à la vie écossaise. J'étais heureuse de partager la vie de la famille de ma mère, qui me racontait de nouvelles anecdotes à son sujet. J'appris l'anglais très rapidement, connaissant déjà les bases. En moins d'un an - je n'avais presque plus l'accent russe qui me faisait défaut. J'étais devenue une vraie princesse, une enfant polie et sage bien que trop aventurière parfois. L'été 1885 arriva bien vite, signant mon passage de la petite enfance à la presque adolescence. Personnellement, je n'avais que huit ans et me considérais toujours comme une petite fille. Mais ce n'est pas ce que pensaient mes grands-parents. La famille fut invitée à célébrer l'été, dans le manoir d'une riche famille de sorciers à Glasgow. Ma grand-mère prit soin de m'habiller pour l'évènement. J'étais loin de me douter que cette soirée allait marquer un grand tournant dans ma vie. A peine arrivés que mon père fut accueilli par un vieil ami de Gryffondor, qui était également venu avec sa famille. Il nous présenta sa femme et son fils - un enfant de mon âge. C'est ainsi que Théodulphe Fergusson entra dans mon existence pour ne plus jamais la quitter. Nos parents décidèrent d'unir nos deux familles. Nos fiançailles furent prononcées alors que nous n'étions pas encore des adolescents. Mais même si l'idée d'un mariage arrangé ne me plaisait pas, j'avais la chance d'aimer sincèrement Théodulphe. Nous étions différents et passions notre temps à nous disputer mais les sentiments étaient présents. Fort heureusement pour nous. Le temps passa et nous entrâmes tous deux à Poudlard. Je rencontrai de nouvelles personnes et certaines d'entre elles devinrent de véritables amis. De son côté, Théodulphe en fit de même. Pourtant - nous étions dans la même maison mais faisions parfois semblant de ne pas nous connaître.

" - Théodulphe Fergusson, mon fiancé ? Tu rêves ! "

J'avais changé. J'étais devenue cette jeune fille espiègle et amusante qu'aimaient les Gryffondor. Pourtant, j'étais également fragile et susceptible ... J'avais des séquelles qui ne pouvaient guérir. Je n'étais pas entière et ne le serais jamais mais je me devais d'avancer malgré tout. Mais ma vie était ainsi. J'étais venue au monde en ignorant tout de ma mère, cela devait sans doute avoir une explication comme me l'avait expliqué mon père. Mais je ne devais pas vivre dans la peur. Il me fallait être forte. Mais je n'étais pas Antigone Poniatowski pour rien, nom d'un Gobelin ! J'allais vous le prouver à tous et à toutes.