▲ Bienvenue à Poudlard
NOM ▲ McKinnon. PRÉNOM ▲ Kasey Gwenivere. ÂGE & DATE DE NAISSANCE ▲ 16 ans - 22 mai 1874. LIEU DE NAISSANCE ▲ Glasgow. OPTIONS SUIVIES ▲ Arithmancie. CLASSE SOCIALE ▲ écrire ici. STATUT CIVIL ▲ Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE ▲ Hétérosexuelle. MAISON ▲ Serdaigle. SANG ▲ Mêlé. BAGUETTE ▲ 23,2cm, crin de licorne et bois de rose. PATRONUS ▲ Hermine. EPOUVANTARD ▲ Une nuée de coccinelles. AVATAR ▲ Danielle Panabaker.

DIRTY LITTLE SECRET ▲


Quelques questions pour mieux te connaître, cher sorcier... (nous ne vous demandons pas des romans mais merci de développer vos réponses - 3 lignes minimum par réponses)

Quel est votre point de vue sur les idées véhiculées par les pro-sangs purs ? Plutôt magie blanche ou magie noire ? ▲ Étant moi-même de sang mêlé, j'ai un peu de mal à comprendre comment l'on peut accorder du crédit à ces bêtises que véhiculent les pro-sang pur. Mon expérience personnelle aurait d'ailleurs plutôt tendance à me laisser croire le contraire de ces théories : ma mère moldue est quelqu'un de cent fois plus recommandable que ma grand-mère qui croit à toutes ces sottises sur la pureté du sang. La magie noire ne m’intéresse pas : je pense que l’on devrait toujours utiliser nos pouvoirs uniquement pour faire le bien… et éventuellement pour débarrasser le monde des coccinelles.

Avez-vous déjà enfreint le règlement ? ▲ Tout dépend ce que vous voulez dire par là. Le règlement, après tout, c'est plus une sorte de guide... non ? Quand je n’arrive pas à dormir, j’aime marcher dans les couloirs, même si le couvre-feu est passé, et il m’est bien arrivé d’entrer dans la forêt interdite – en même temps, si on nous expliquait clairement pourquoi elle est interdite, on n’aurait peut-être pas besoin d’aller le voir par vous-même. Et parfois, je m’exerce à jeter le sortilège d’Allégresse sur ceux qui ont le dos tourné, mais je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir de mal à ça…

Plutôt chocogrenouille ou dragées surprises bertie crochues ? ▲ Dragées surprises de Bertie Crochue sans hésiter ! C'est bien la seule friandise que l'on trouve parfois au goût choux-fleur. Je me demande d'ailleurs bien pourquoi... Et puis, il est vrai que c’est amusant de mordre dedans sans savoir sur quoi l’on va tomber. Toutefois, si je n’aime pas trop les chocogrenouilles, il est vrai que j’aime en collectionner les cartes.

Bavboules ou jeu de bataille de cartes explosives ▲ Les Bavboules… comment dire ? Ce n’est pas vraiment mon truc. En plus d’être un jeu beaucoup trop salissant à mon goût, quelle que soit la façon dont je m’y prends, je perds toujours, et spécialement contre ma sœur, ce qui a le don de m’agacer prodigieusement. Je préfère donc nettement la Bataille explosive : voilà au moins un jeu intéressant et équitable !

Quel est votre sortilège favori ?▲ J’aime beaucoup le sortilège d’Allégresse, qu’il m’arrive d’utiliser discrètement, parce que j’aime avoir des gens heureux autour de moi. Je dois cependant dire que c’est sans doute le sortilège d’Orchideus qui a ma préférence. Quand j’étais petite, Papa l’utilisait souvent pour faire apparaître des bouquets de fleur pour Maman ; et pour moi qui aime beaucoup les fleurs, ce sortilège est peut-être le plus magique de tous.

Une particularité (une allergie aux cacahuètes, une phobie des papillons, transformation en animagus, métamorphomage, une passion pour le dessin...) ▲ Puisque vous y faîtes allusion, je peux bien vous avouer cela : je n'ai pas peur des papillon, mais des coccinelles, auxquelles j'ai développé une véritable phobie. Toutes ces horribles petites choses, couvertes de points noirs… Beurk ! Je ne peux m'empêcher de hurler lorsque j'en vois une : heureusement qu'il n'y en a pas beaucoup dans le parc de Poudlard...

OH MY DEAR ▲




James McKinnon, fils unique d'Ellen et Henry McKinnon, avait un avenir tout tracé, fiancé dès son plus jeune âge à une jeune représentante d'une autre éminente famille de sorciers de sang pur. Seulement, le jeune homme ne l'entendait pas de cette oreille, et, le jour même de sa sortie de Poudlard, il disparut, tout simplement. Enfin… il disparut du moins du monde sorcier : il était tombé éperdument amoureux d’une jeune moldue rencontrée dans les alentours du manoir familial des McKinnon, près de Glasgow. Il lui fit une cour assidue pendant de longs mois avant de se décider à lui demander sa main : lorsqu’ils se marièrent, par une belle journée de printemps, James se sentit pour la première fois réellement libre ; il avait réussi à quitter cette voie tracée pour lui par ses parents et à forger son propre destin.



Les McKinnon formaient un couple uni et heureux, peinant à maintenir à flot le petit commerce du père de la jeune femme qu’ils avaient repris. Un bébé n’a pas tardé à voir le jour : une petite fille, appelée Kasey Gwenivere, mais que l’on nommerait bientôt simplement Gwen. Elle fut suivie l’année suivante par une autre petite fille, puis, plus tard, par un garçon. De son enfance, Gwen garde de très bons souvenirs, tous empreints des tours de magie que leur faisait son père, qui n’utilisait désormais sa baguette magique que pour amuser ses enfants. Son père magicien mis à part, Gwen eut une enfance tout à fait normale, passant ses journées à jouer dans les rues de Glasgow avec sa sœur et les enfants moldus des environs. Et, bien qu’ils n’aient pas beaucoup d’argent, ce fut une grande période de bonheur.

Un jour, peu avant le onzième anniversaire de Gwen, un hibou s’engouffra dans la boutique de ses parents, une lettre accrochée à la patte. Une lettre d’admission dans une école dont elle n’avait jamais entendu parler, mais qui était apparemment l’endroit où son père avait fait ses études : Poudlard, école de Magie et de Sorcellerie. Il y eut une grande dispute entre ses parents, ce soir-là. Le lendemain matin, son père les conduisit, elle et sa sœur, dans une grande maison qu’elle n’avait jamais vue, et où vivait seule une vieille dame : ce fut là sa première rencontre avec sa grand-mère. Celle-ci était furieuse contre son fils, qui parvint péniblement à se faire entendre. Jamais Gwen n’avait vu son père mentir avec autant d’aplomb : selon lui, il avait voulu tenter sa chance aux Amériques, où il avait fait fortune et épousé une riche sorcière de bonne famille. Mais ils tenaient tout deux à ce que leurs filles aillent à Poudlard, ce qui expliquait son retour en Angleterre. Ellen McKinnon avait beau être furieuse, son fils était son unique héritier et, après toutes ces années, il revenait enfin : une fois sa colère passée, elle accepta donc de le croire. Elle décida de prendre en charge les frais de scolarité de ses petites-filles – ce qui soulagea grandement le père, venu la trouver, il faut bien le dire, dans ce seul but – à la condition de pouvoir les garder durant l’été afin de tâcher d’en faire des « jeunes filles dignes de leur rang ». Les deux fillettes s’installèrent au manoir McKinnon dès le lendemain.
Bien que sa grand-mère soit une femme acariâtre, accordant une importance démesurée à l’apparence et très attachée à des principes que Gwen ne comprenait pas à propos d’une certaine « pureté du sang », elle garde de très bons souvenirs de cet été là. Elle n’avait jamais entendu parler de la famille de son père auparavant, et n’aurait jamais imaginé qu’ils soient si riches, que sa grand-mère puisse vivre dans une si grande et belle maison, ni qu’il existe autant de magie. Tout ce qu’elle découvrait jour après jour était tout simplement merveilleux. Elle se rappelle encore avec précision de ce jour où sa grand-mère l’a emmenée acheter sa baguette chez Ollivander ; sa sœur était d’ailleurs terriblement jalouse.
Enfin, le 1er septembre arriva, et ce fut pour Gwen le début d’une nouvelle aventure : le départ pour Poudlard.



Jamais Gwen n’avait vu un endroit tel que Poudlard, et toute la magie qui en émanait dépassait l’entendement. Tout l’émerveillait, et elle était d’ailleurs tellement plongée dans la contemplation des étoiles sur le plafond de la Grande Salle qu’elle faillit ne pas répondre à son nom lorsqu’on l’appela pour la cérémonie de la Répartition. Impressionnée également par tous ces gens qui lui faisaient face lorsqu’elle s’assit sur le tabouret, elle sursauta en entendant la voix du vieux chapeau dans sa tête. Celui-ci n’hésita pas longtemps avant de l’envoyer à Serdaigle, ce qui, bien que Gwen, ignorant totalement le système des maisons, n’en eût pas conscience, ce n’était pas très étonnant : la fillette avait toujours fait preuve d’une curiosité manifeste, et avait passé une partie de l’été à lire des livres de l’immense bibliothèque de sa grand-mère, même si elle n'avait pas compris grand-chose pour tout ce qui concernait la magie.
Gwen n’eut pas de mal à se faire des amis dans sa maison : extravertie, parler aux gens qu’elle ne connait pas ne lui a jamais posé problème – de toute façon, elle oublie souvent le nom de ceux qu’elle connait, alors… En amoureuse de la nature - excepté en ce qui concerne les coccinelles - qu’elle est, elle adora tout de suite les cours de Botanique, de même que, avide de pratiquait cette magie qu’elle découvrait réellement, elle se passionnait pour les cours de Sortilège. Pour tout le reste, elle était une élève moyenne, et relativement intéressée, avec toujours une vision très particulière des choses.




A présent, Gwen est en sixième année à Poudlard. Elle aime beaucoup ce château qu’elle considère comme sa seconde maison, et où sa sœur l’a rejointe, il a quatre ans, bien que celle-ci porte les couleurs des rouge et or. Il sera bientôt temps de penser à l'avenir, il paraîtrait d'ailleurs que sa grand-mère lui cherche un bon parti, mais pour le moment la jeune fille ne s'en préoccupe pas vraiment ; elle s'occupe plutôt de chercher un sort qui pourrait résoudre tous les maux de l'humanité... enfin, surtout les siens : un sort qui pourrait transformer les coccinelles en papillons...

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PSEUDO/PRÉNOM ▲ Maya. ÂGE ▲ 18 ans. SEXE ▲ Féminin. PAYS ▲ France. DOUBLE-COMPTE ▲ Aucun. PRÉSENCE ▲ 5/7. OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ▲ Par Pub RPG Design. COMMENT LE TROUVES-TU ▲ J'aime beaucoup le contexte, tout autant que le design =). CODE DU RÈGLEMENT ▲ balai.